Quimper & Ses Environs
L’Âme du Finistère

Une ville d’art et d’histoire,
entre pierre et océan

Quimper est labellisée Ville d’Art et d’Histoire grâce à la qualité de son patrimoine architectural : la cathédrale St Corentin, les maisons des XVIème et XVIIème siècles qui côtoient les remparts et les quais de l’Odet, le quartier de Locmaria, les musées, les rues animées et commerçantes, parcourez la cité médiévale et les passerelles du XIXème siècle.

La Maison du Capitaine LalaSaul

Adresse : 27 rue de Concarneau
29000 Quimper

Locronan : 30mn

Située sur une montagne dans un patrimoine naturel exceptionnel à 5km de la mer, cette cité médiévale est l’un des sites les plus prestigieux de Bretagne en raison de sa qualité architecturale. Pour preuves ses labels : Petite Cité de Caractère en Bretagne, Plus Beaux Villages de France, elle compte de nombreux artisans d’art.

Pays de Douarnenez : 30mn

Douarnenez, ancienne capitale sardinière représente, d’une part, un patrimoine urbain pittoresque composé d’anciennes conserveries, maisons d’usiniers, de familles de pêcheurs et ouvrières des sardineries. D’autre part, des villas balnéaires, de la plus imposante à la plus modeste, jalonnent le quartier de Tréboul.

Le Cap-Sizun et la Pointe du Raz : 1h

Le Cap-Sizun offre un concentré de Bretagne sur un territoire sauvage et préservé : plages de sable blancs, belvédères spectaculaires sur la mer d’Iroise, falaises brutes et préservées. Avec le site emblématique de la Pointe du Raz, les principales falaises du cap Sizun forment le « Grand Site de France ».

Pont l’Abbé et le Pays Bigouden : 20mn

Le Pays Bigouden est une terre de caractère et de traditions, connue pour sa coiffe, mais pas seulement. Pont l’Abbé, son château et son pont habité hébergent les traditions. Véritable terre de pêcheurs avec ses quatre ports animés : Le Guilvinec, Loctudy, Saint Guénolé-Penmarc’h et Lesconil.

Pays de Fouesnant et Bénodet : 25mn

Fouesnant les Glénan vous surprendra par la diversité de ses charmes : côtes découpées, longues plages de sable fin, sentiers de randonnée via le mythique GR34. Laissez-vous charmer par la superbe station balnéaire de Bénodet, sa corniche, ses plages…sans oublier son Casino et sa thalassothérapie.

Concarneau : 30mn

Ville portuaire et ancienne place forte de Bretagne, Concarneau a su conserver un riche patrimoine architectural. A l’abri des fortifications de la Ville Close, chalutiers et côtiers débarquent leur pêche non loin des conserveries et des chantiers navals. Sa baie abrite une station balnéaire aux plages de sable fin.

Pont Aven : 30mn

Mettez-vous dans les pas de Paul Gauguin. Imaginez-le sur le port, sur les berges de l’Aven, admirant les moulins qui se succèdent. Vous comprendrez pourquoi il a tant aimé cette cité des peintres, qu’il a fait connaître au-delà des mers. Pour la pause gourmande, il y a bien sûr les authentiques galettes.

La presqu’île de Crozon : 1h

Des sites à couper le souffle, qu’on voudrait ne jamais oublier : cette presqu’île est grandiose, de tous côtés. Cela ne date pas d’aujourd’hui : mégalithes, tour Vauban (patrimoine Unesco), route des fortifications. Amateurs de sensations fortes, escalade, canyoning ou pêche en mer vous attendent.

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La ville épiscopale et
les remparts de Quimper,
Ville d’Art et d’Histoire

La naissance de Quimper, Ville d’Art et d’Histoire est ici à portée de regard. La cathédrale St Corentin et le Palais des Evêques se dressent sur la place St Corentin, noyau vital de la cité close.

C’est en 1239 que l’Evêque Reynaud décide de la construction de la cathédrale St Corentin en s’appuyant sur les fondations d’une ancienne église romane. Accolé à la cathédrale, le Palais des Evêques abrite le Musée Départemental Breton. Sous l’Ancien Régime, ce palais était la résidence de l’évêque de Cornouaille, qui était aussi le seigneur de la ville close de Quimper. Jusqu’au milieu du XIXème siècle, les évêques successifs se sont attachés à remodeler, agrandir et restaurer cette demeure. Le bâtiment actuel a été construit entre 1645 à 1647 par l’architecte quimpérois Bertrand Moussin.

La ville des ducs de Bretagne

Une ceinture de remparts délimite le noyau initial de la ville. Dans cet espace restreint, qui concentre toutes les activités de la cité, ont été édifiées les maisons de chanoines et celles des bourgeois.

Les maisons à pans de bois de Quimper, Ville d’Art et d’Histoire font partie du paysage urbain. Témoignage d’un savoir-faire médiéval, ces édifices ont jalonné les siècles, du XIVème au XIXème, lorsque furent progressivement abandonnés l’usage et les techniques. Véritable puzzle de bois ces maisons font la fierté de la plupart des villes bretonnes Grâce à elles, il est possible d’imaginer Quimper au temps où deux pouvoirs rivalisaient, l’évêque dans la ville close, les ducs sur l’autre rive du Steïr.

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La ville des ducs de Bretagne

Une ceinture de remparts délimite le noyau initial de la ville. Dans cet espace restreint, qui concentre toutes les activités de la cité, ont été édifiées les maisons de chanoines et celles des bourgeois.

Les maisons à pans de bois de Quimper, Ville d’Art et d’Histoire font partie du paysage urbain. Témoignage d’un savoir-faire médiéval, ces édifices ont jalonné les siècles, du XIVème au XIXème, lorsque furent progressivement abandonnés l’usage et les techniques. Véritable puzzle de bois ces maisons font la fierté de la plupart des villes bretonnes Grâce à elles, il est possible d’imaginer Quimper au temps où deux pouvoirs rivalisaient, l’évêque dans la ville close, les ducs sur l’autre rive du Steïr.

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Locmaria, site primitif de Quimper,
Ville d’Art et d’Histoire

Le quartier de Locmaria, est situé sur la rive gauche de l’Odet, au sud de la ville close et de la cathédrale St Corentin. A partir de l’installation de la faïence de Quimper le caractère ouvrier du quartier s’affirma, Locmaria devint un quartier populaire aux nombreuses petites maisons et masures avec son église (XIème et XIIème) et son prieuré (XVIIème et XVIIIème) qui accueillait une communauté de religieuses bénédictines.

L’abbaye de Locmaria est le plus ancien établissement chrétien de la ville. L’église abbatiale Notre Dame est un parfait témoin des débuts de l’art roman en Bretagne.

La cathédrale Saint Corentin de Quimper,
le joyau de l’art gothique breton

C’est en 1239 que l’Evêque Raynaud décide de construire la cathédrale actuelle en s’appuyant sur les fondations d’une ancienne cathédrale romane. En 1410, les voûtes du choeur sont achevées, tandis que sont posées les verrières dans les fenêtres hautes. En 1424, l’Evêque Bertrand de Rosmadec entreprend la construction de la nef et des deux tours de la façade.

A partir des années 1850, l’architecte quimpérois Joseph Bigot entreprend la restauration de l’édifice, principalement le décor des chapelles et la commande de nouveaux vitraux détruits lors de la Révolution Française. Sa réalisation la plus spectaculaire reste l’achèvement des deux tours avec la construction des flèches entre 1854 et 1856, financée par les Quimpérois.

De 1989 à 1999, une campagne de restauration révèle l’aspect de la cathédrale à la fin du 15ème siècle : restitution des polychromies intérieures avec réapparition des nervures traitées en ocre jaune et ocre rouge et chaulage général des parements.

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La cathédrale Saint Corentin de Quimper,
le joyau de l’art gothique breton

C’est en 1239 que l’Evêque Raynaud décide de construire la cathédrale actuelle en s’appuyant sur les fondations d’une ancienne cathédrale romane. En 1410, les voûtes du choeur sont achevées, tandis que sont posées les verrières dans les fenêtres hautes. En 1424, l’Evêque Bertrand de Rosmadec entreprend la construction de la nef et des deux tours de la façade.

A partir des années 1850, l’architecte quimpérois Joseph Bigot entreprend la restauration de l’édifice, principalement le décor des chapelles et la commande de nouveaux vitraux détruits lors de la Révolution Française. Sa réalisation la plus spectaculaire reste l’achèvement des deux tours avec la construction des flèches entre 1854 et 1856, financée par les Quimpérois.

De 1989 à 1999, une campagne de restauration révèle l’aspect de la cathédrale à la fin du 15ème siècle : restitution des polychromies intérieures avec réapparition des nervures traitées en ocre jaune et ocre rouge et chaulage général des parements.

Saint Corentin

A l’époque du roi Gradlon, Saint Corentin s’établit en ermite sur l’actuelle commune de Plomodiern pour se consacrer entièrement à la prière. Le saint homme réalisa dès lors plusieurs miracles.
Un jour, Gradlon, le roi de Cornouaille s’en alla chasser avec sa troupe dans l’épaisse forêt qui recouvrait alors la plaine du Porzay. Le roi s’y égara et trouva finalement, fourbu et affamé, l’ermitage de Corentin. Celui-ci réussit le prodige de nourrir toute la troupe grâce à un seul petit poisson. C’était le poisson dont il se nourrissait quotidiennement : chaque jour il ne prélevait qu’une tranche, puis replaçait le poisson qui dans l’eau aussitôt se reconstituait. le roi, ébloui par ce prodige, décida de donner son château près du confluent (Quimper) à Corentin et lui demanda de devenir le premier évêque de son royaume.

Quimper,
capitale de la faïence

une histoire d’amour depuis plus de 300 ans

L’aventure de la faïence commence en 1690 avec l’arrivée de Jean-Baptiste Bousquet, qui a quitté son village natal près de Marseille pour s’installer comme maïtre pipier près du Prieuré de Locmaria.

Il y gagne honnêtement sa vie, sans concurrence, et bénéficie de la proximité du port qui favorise le transport des matières premières et des produits finis. Ces arguments convaincront son fils Pierre, faïencier à Marseille, qui vient s’installer en 1707.

Au début du XXè siècle, les deux grandes faïenceries qui se retrouvent face à face sont HB (Hubaudière-Bousquet) et Henriot.
La participations des deux faïenciers à l’Exposition Internationale des arts décoratifs en 1925 est un succès. La rénovation de la culture bretonne passe aussi, désormais par leurs ateliers.

Découvrez l’histoire de la faïence

en visitant le musée de la faïence de Quimper.

Henriot-Quimper est une des plus anciennes entreprises françaises, créée en 1690 à l’époque des manufactures royales. Labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant, elle est l’unique héritière du prestigieux patrimoine de la faïence de Quimper et d’un savoir-faire unique, reconnu dans le monde entier. Ici, tout est fait à la main, de la création des pièces à la décoration à main levée : art de la table, décoration d’intérieur, rééditions en série limitée, mais aussi une ligne d’élégants bijoux en faïence et bien sûr le célèbre bol prénom inventé dans les ateliers de la faïencerie dans les années 30.

Visite guidée des ateliers de la faïencerie Henriot-Quimper d’avril à septembre (renseignements à l’Office de Tourisme ou auprès de la Faïencerie)

Le magasin d’usine, quant à lui, est ouvert toute l’année.
Faïencerie Henriot-Quimper
Place Bérardier – Locmaria – 29000 Quimper
Tél : 02 98 90 09 36 – www.henriot-quimper.com